L'aube en chair de poule / L'eustache à la main
De Blaise Cendrars
Diptyque J'ai tué : l'homme face/avec la guerre
Guillaume Lecamus : conception et interprétation
Ephia Gburek : danse
Thomas Carpentier : musiques
Jacques Boüault : lumières
Norbert Choquet : réalisations plastiques
Julie Postel : regard dramaturgique
Partenaires : Le Tas de Sable-Ches panses vertes, La Chambre d’eau. Avec le soutien du 232U
Ce spectacle est porté par : Coopérative Oeuvrière de Production
Texte coup de poing sur la Grande Guerre, à la frontière du théâtre, de l’installation et de la performance corporelle, visuelle et sonore.
Un théâtre paysage qui marie de façon égale, danse, texte, lumière, punk-noise et art plastique afin de proposer une expérience contemplative, poétique, viscérale sur la violence de l’Histoire jusqu'à aujourd'hui, nos affrontements politiques.
Balbutiar XI
De Antoine Volodine
Concert théâtral Post-exotique
Musicien tellurique : Eric Brochard
Diseur transi : Guillaume Lecamus
Manipulatrice sonore : Kristina Dementeva
Le roi Balbutiar, onzième du nom, sorte d'homme langouste, se réveille un beau matin face à la mer, le dos soudé à un rocher. Afin d'échapper à la mort venue le chercher à bord d'un funeste navire, il devra s'enfoncer dans plusieurs couches de rêves.
Image : François Heaulmé, monotype,
46 x 37, sans titre, 2000 (collection particulière)
Végétal
De Antoine Percheron
Lecture-performance
Diseur écorcé : Guillaume Lecamus
Bande son : Thomas Carpentier
Végétal, c'est le récit d'un jeune homme qui lentement mais inexorablement, se transforme en arbre.
Métaphore poétique et fantastique sur la maladie, c'est une lutte pour vivre, nos métamorphoses, la peur de ce que l'on devient, notre corps changeant et c'est comment on dépasse tout ça.
Avec humour, tendresse et simplicité, Végétal, c'est aussi un hymne à la nature et à la vie
La vie d'Albert Comète et autres vies
Textes : Gilles Aufray
Interprétation : Guillaume Lecamus
Regard complice : Christian Remer
Remerciements : Cassandre Ostier, Norbert Choquet
Soutiens : Théâtre du Hublot, Le Château de la Roche-Guyon, Le Tas de Sable-Ches Panses Vertes
En faisant correspondre le temps d'une vie à celui d'une journée, voici les fulgurants portraits, anodins et poétiques, d'Albert Comète, boucher de village, de Casimir Chapeau, infatigable siesteux , de Jeanne Stellaire, aviatrice et clown et d'Isabelle Si, la tricoteuse. Au sol, au fur et à mesure des récits, des paysages se forment...
Journal d'Ulysse
Drame liquide pour comédien, bocal et bruits de bouche
Texte, conception et interprétation : Guillaume Lecamus
Soutiens : Cie En verre et contre tout, Laboratoire Clastic
Photo : Emilie Rouy
Lien photo : Télérama sortir
Journal d’Ulysse est une variation personnelle de l’Odyssée homérienne. Ulysse raconte à la première personne, son périple, ses états d’âme, comme un voyage intérieur, halluciné, intime. Mots, bruitages sonorisés et bricolage visuel se côtoient pour parler de la relation de l’homme face au monde qui l’entoure, sa solitude, ses quêtes, ses perditions et ses retrouvailles avec la vie, avec lui-même.
Cela fait-il du bruit ?
De Patrick Dubost
Mise en scène et interprétation : Guillaume Lecamus
Scénographie et personnages : Norbert Choquet
Bande son : Patrick Dubost
Œil extérieur : Christian Remer
Lumières : Jacques Boüault
Photo : Emilie Rouy
Coproductions : Laboratoire Clastic, Le Loup qui Zozote, Naxos Bobine
Cela fait-il du bruit? parle de la vie, de la mort, du temps qui passe, de la guerre et de l'amour. Installations plastiques, ombres, figures et personnages sculptés avec des feuilles de livres jalonnent cette visite-spectacle, sorte de voyage vers des intérieurs poétiques où les images et les mots se frottent pour parler du sensible des choses.
Caisses
De Christophe Tarkos
Conception et interprétation : Elodie Brochier et Guillaume Lecamus
Photo : Pierre Acobas
Caisses se présente comme un petit parcours dans l’intimité de la langue poétique de Christophe Tarkos. De petites installations plastiques créées avec des éléments naturels (bois, sable, terre, eau…) viennent côtoyer les mots pour parler des petites choses liées aux sentiments, aux sensations, comme des paysages intérieurs ouvrant les diverses boîtes de la vie.
Petites pièces grotesques et sérieuses
De Matei Visniec, Philippe Minyana, Patrick Kermann, Marion Aubert
Conception : Guillaume Lecamus
Marionnettes : Cristiana Daneo
Interprétation : Guillaume Lecamus, Cristiana Daneo/Barbara Moreau
Soutien : Laboratoire Clastic
Un ver essaie de sortir d'une pomme... Face à une fenêtre, une vieille dame ressasse le passé... 14 Poilus reviennent d'entre les morts pour se plaindre et raconter la Grande Guerre... Les habitants du val de Moldavie, eux, ne savent que raconter des histoires...
Quatre univers pour dire le monde en miniature, sous l'angle de la poésie, de la causticité, de l'intimité et de l'humour.
De quelques choses vues la nuit
De Patrick Kermann
Mise en scène : Guillaume Lecamus
Interprétation : Guillaume Lecamus et Pierre Gatineau
Scénographie et marionnettes : Norbert Choquet
Photo : Emilie Rouy
Coproduction : Laboratoire Clastic
Deux comédiens-guides dirigent les spectateurs dans les ruines d’une cité. Au fur et à mesure de cette visite, des voix se font entendre, âmes errantes ou fantômes hantant inlassablement ces lieux séculaires. Ces personnages sont condamnés au ressassement et à la solitude au plus profond d’une nuit sans étoile. Des fragments de mémoire, des paroles obsessionnelles, des histoires d’amours...
Tout un univers comme figé dans une nuit mystérieuse pour explorer ce qu’il reste après le passage de l’Histoire... après la catastrophe.
Théâtre décomposé ou l'homme-poubelle
De Matei Visniec
Mise en scène : Guillaume Lecamus
Marionnettes : Norbert Choquet
Interprétation : Barbara Moreau, Aude Rivoisy, Marien Tillet
Musique : Etienne Saur
Lumières : Jacques Boüault
Coproduction : Laboratoire Clastic
Un être devenu poubelle, des hommes enfermés dans des cercles, un mangeur de viande qui se dévore lui-même et qui grossit à l’infini et des folles persuadées que leurs villes ont été envahies par des papillons carnivores, des escargots pestilentiels et une pluie-animal…
Voici quelques uns des univers insolites que propose ce spectacle puzzle où des marionnettes-emballages fabriqués avec du carton et des vieux vêtements scotchés ensemble portent cette parole de l’absurde, noire et drôle.
Avis de décès
De Heiner Müller
Mise en scène et interprétation : Guillaume Lecamus
Pantins : Norbert Choquet
Collaboration artistique : François Lazaro et Philippe Rodriguez-Jorda
Un homme rentre chez lui et découvre le cadavre de sa femme dans sa cuisine. A ce choc, se mêlent des souvenirs confus d'adolescence qui l'entraine peu à peu dans un voyage intérieur. Il s'agit ici d'un jeu de doubles troublants comme si le narrateur remettait lui-même en scène sa propre mémoire avec des pantins.